Le 29 avril 2025, le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation Ibrahima Kalil Condé a dénoncé des pratiques illégales autour du recensement biométrique en cours. Certaines personnes exigeraient de l’argent aux citoyens et leur imposeraient un certificat de résidence non requis.
Le ministère menace de traduire en justice tout individu surpris en flagrant délit. Il invite les commissions de recensement à « accorder la priorité aux personnes âgées et aux femmes enceintes pour faciliter leur enrôlement ».
Débuté le 15 avril dernier sur l’ensemble du territoire national, le recensement concerne les guinéens de 10 ans et plus.